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Credits

AUSFÜHRENDE KÜNSTLER:INNEN
Matheos
Matheos
Künstler:in
KOMPOSITION UND LIEDTEXT
Matheos
Matheos
Songwriter:in
Eddy Pradelles
Eddy Pradelles
Komponist:in
Silvio Lisbonne
Silvio Lisbonne
Komponist:in
PRODUKTION UND TECHNIK
Eddy Pradelles
Eddy Pradelles
Produzent:in
Silvio Lisbonne
Silvio Lisbonne
Produzent:in

Lyrics

J'suis un mec à part du gâteau, un singulier J'ai beaucoup travaillé à plus avoir de métier J'veux la vie d'chat, pas la vie d'chien Remplir le cœur, le compte des miens J'connaîtrais mon passeport de tête Pour mettre loin les fils de putains Auprès des miens, j'suis refait, j'suis repeint (J'suis refait, j'suis re-bien) J'suis un branleur un peu paro J'baise dix paires de claquettes par an Les vacances, notre guerre de Cent Ans J'monte au front d'mer avec mes gens J'veux pas être ou avoir, j'veux faire, chasser l'mal-être Avec mes frères, faire résonner nos rires sur Terre J'veux retrouver ma joie d'enfant, mon rire d'antan sans pomme d'Adam Chaque jour, j'me dépêche de vivre, on veut une mort vive D'homme libre, on a passé l'âge de grandir, on fête Notre moi, on fait d'notre mieux pour pas Vivre vieux, j'aime la vie à la perdre, mon cœur Vicieux est pernicieux J'suis un mec à part du gâteau, un singulier J'ai beaucoup travaillé à plus avoir de métier J'm'en bats les couilles comme un glacier Qui ferme en août et en juillet La vie va trop vite, je ne peux plus reculer J'ai dit à mon patron d'aller se faire enculer Auprès des miens, j'me sens rentier J'suis détendu comme un banquier J'veux pas finir raté, frustré, raciste, RATP Sûreté Et, quand j'ai dans la lumière aujourd'hui, c'est déjà hier J'vais là où ma flemme me mène, l'envie d'pisser comme seul réveil Le matin, j'suis pas moi-même, j'vois s'lever les couchers d'soleil J'suis un banlieusard, j'dis "nique ta mère" Je fume partout, je crache par terre Mes rêves en tête, j'oublie la merde J'vis chaque jour comme un printemps, ça donne des résultats divers J'finirai par squatter l'été tous les mois quelque part sur Terre J'crois plus en la paix, mais j'continue à la prêcher J'suis dégoûté d'amis que j'continue à apprécier Tu ressembles à une femme que j'ai envie de rencontrer J'viens pas d'une famille d'paresseux J'disais à mon père "J'fais c'que je peux" Il m'répondait "Bah, tu peux peu" Il m'répondait "Bah, tu peux peu" J'suis un mec à part du gâteau, un singulier J'ai beaucoup travaillé à plus avoir de métier J'm'en bats les couilles comme un glacier Qui ferme en août et en juillet La vie va trop vite, je ne peux plus reculer J'ai dit à mon patron d'aller se faire enculer Auprès des miens, j'me sens rentier J'suis détendu comme un banquier Et, si le spleen m'envahit, j'm'en bats les couilles, j'me casse d'ici J'referai ma vie en Asie, j'gratterai les prix au shifumi Tous les jours les mêmes habits, de Gili à Ko Samui Faire du bonheur un habit, être heureux comme un imbécile Fumer des oints-j', manger des fruits Humer l'matin, aimer des filles S'figer un sourire de selfie, que, devant le malheur, on s'défile Que, devant le malheur, on défile J'suis un mec à part du gâteau, un singulier J'ai beaucoup travaillé à plus avoir de métier J'm'en bats les couilles comme un glacier Qui ferme en août et en juillet La vie va trop vite, je ne peux plus reculer J'ai dit à mon patron d'aller se faire enculer Auprès des miens, j'me sens rentier J'suis détendu comme un banquier
Writer(s): Eddy Pradelles, Matthieu Longatte, Silvio Lisbonne Lyrics powered by www.musixmatch.com
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