Letras
Y'a pas assez de place dans la ville pour les coeurs énormes.
J'suis entouré d'noirs blancs rebeux qui niquent les normes.
Nouvelle est la paire j'évite les flaques.
J'avais pas la possession j'ai mis que des tacles.
A part en nous mêmes je ne sais plus en qui croire.
Mon meilleur ami et mon pire ennemi devant le miroir .
Tout n'est pas si blanc tout n'est pas si noir.
Ébène et ivoire, difficile dy voir.
J'ai digéré les défaites j'veux savourer les victoires.
J'met des forces de cote pour les miens
Quelques années en plus, quelques amis en moins.
Le temps s'deverse sur nous comme la pluie j'éviterai pas les gouttes.
Donc j'prend c'que j'ai a prendre et leur avis je m'en bat les couilles
Noirs sont les nuages rares sont les lueurs.
Pour changer d'paysage faut verser larmes sang et sueur.
J'ai grandi près des orages paraît qu'la vie est dure
Lunaire est mon humeur récupérer mon du c'est mon but.
les gorillaz sont dans la brùme dans le barrio grande familia
souvent j'entends les joueurs de flut e jsuis pas malheureux d'etre là
on s'est croisé sur la route mais on ne va pas au meme endroit
je suis faché avec les lois ceux qui soutiennent la corrida
des atouts des handicap et je dois garder l'cap
j'tombe pas dans l'panneau
ils pensent le contraire mais on s'en tappe
du chaï de l'autotune comme un lowkick dans la rotule
jpose mes jambes j'prends tout l'canapé c'est la ure
j'avance fonce avec ou sans gps j'mets les voile j'me casse
j'ignore le temps qui m'reste
j'mesure la chance que j'ai j'vois des SOS
un studio à 20 balle pour faire peter les caisse
paris c'est jumanji en fond des histoires sans fin
les gros mangent les ptits mais personne mange à sa fin
mets ta fierté de coté des sdf parterre
le vice me tend des perches je rappe à crane ouvert
tes mon rein tes mon poumon tes le coeur check le son
j'essaie de sauver les meubles avant d'etre vider de mon sang
c'est la force assuré tu perds gros si tu te gourres
tout fumer jsuis pour toujours on fera bloc toujours